Serviteur

La Fête de la Miséricorde précédée de la neuvaine

« Je désire que durant ces neuf jours, tu amènes les âmes à la source de ma miséricorde, afin qu’elles puisent force et fraîcheur, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie et particulièrement à l’heure de la mort. Chaque jour tu amèneras jusqu’à mon cœur un groupe d’âmes différent et tu les plongeras dans l’océan de ma miséricorde. Et moi, je ferai entrer toutes ces âmes dans la demeure de mon Père. Tu feras cela dans cette vie et dans l’autre. Je ne refuserai rien aux âmes que tu amèneras à la source de ma miséricorde. Et chaque jour, par ma douloureuse passion, tu solliciteras de mon Père des grâces pour ces âmes. » (1209)

« Les âmes périssent malgré mon amère passion. Je leur offre une dernière planche de salut, c’est la fête de ma miséricorde. Si elles n’adorent pas ma miséricorde, elles périront pour l’éternité. » (965)

« Je désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur punition ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les grâces ; qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de moi, même si ses péchés sont comme l’écarlate. » (699)

Le tableau de Jésus Miséricordieux

« Ce n’est ni dans la beauté des couleurs ni dans celle du coup de pinceau que réside la grandeur de cette image mais dans ma grâce. » (313)

« Je donne aux hommes un vase avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la miséricorde. Ce vase, c’est cette image, avec l’inscription : « Jésus, j’ai confiance en toi. » (327)

« Par cette image, j’accorderai beaucoup de grâces aux âmes ; que chaque âme ait donc accès à elle. » (570)

« Je désire qu’on honore cette image, d’abord dans votre chapelle, puis dans le monde. » (48)